Le Silence des ogres

Elle : « Sandrine Roudeix part à la recherche de son père et nous bouleverse. » Dorothee Werner

Le Figaro Littéraire : « Un beau roman sur la figure du père ». Bruno Corty

La Croix Hebdo :  » La psychanalyse comme l’écriture vient mettre des mots sur un bouleversant destin de femme. » Christophe Henning

Le Parisien Magazine :  » Certains pères sont-ils des ogres capables de se nourrir de l’absence qu’ils ont créée en disparaissant ? (…) Cette question, Sandrine Roudeix (…) l’explore dans son sixième roman, inspiré de sa propre histoire. II ne fait aucun doute qu’il est le plus important de tout ce que cette Toulousaine a signé jusqu’ici. » Pierre Vavasseur

Libération :  » Comment trouver le père réel en tuant le symbolique et l’imaginaire ? « . Nathalie Agogué

L’Arche :  » Un roman subtil au plus prèsdu coeur, où l’émancipation perce entre chaque ligne ». Emmanuelle de Boysson

Le Quotidien indépendant luxembourgeois :  » Un beau roman sur la filiation ».

Page des libraires : « On suit avec beaucoup d’attention ce chemin intime tracé avec sincérité ». Stéphanie Hanet (Librairie Coiffard à Nantes)

L’Heure des livres / CNews : « Un livre qui explore l’absence-présence de père (…). C’est à lire. » Anne Fulda

Télé 7 jours : « Dans une langue superbe, précise, imagée, l’écrivaine Sandrine Roudeix, explore le non-dit, ce qui fait que l’on est soi. (…) Un récit intime qui vous prendra la main et la lâchera pas. » Frédéric Rapilly

Cité Radio : « Un beau roman sur l’absence qui construit » Guillaume Colombat

WeCulte Mag : « Un beau roman sur la filiation. » Serge Bressan (LIbrairie Le Divan à Paris)

La Dépêche du midi : « Sandrine Roudeix tisse un fil narratif d’une élégance et d’une force irrésistibles. » Yves Gabet

20 Minutes : « Pourquoi lire ce roman ? Parce que l’originalité de l’autrice est de nous livrer quelques pans de sa psychanalyse
où elle analyse comment elle s’est construite avec le manque, les blancs de sa
filiation (…). Et parce que son écriture est sincère et à fleur de peau.  » Kriss55

Côté Toulouse :  » Un livre à l’écriture poétique et à la construction narrative originale. Un vrai coup de coeur ». Yves Gabet

Actu Toulouse : « Abandon familial et émancipation féminine, vérité des sentiments et hommage à les « filles sans père » sont au cœur de ce livre à l’écriture poétique et à la construction narrative originale. Un vrai coup de cœur. »

Femme Actuelle/ Simone kiffe : « Cette autofiction bouleversante nus fait passer du manque d’air au trop plein (…) Ne passer pas à côté de ce livre, intime et intense ». Chloé Thibaud

L’Ardennais :  » Ce récit poétique, mystérieux et obsessionnel explore le deuil, le déni, l’émancipation et la dépendance masculine sous une prose tant poétique que psychanalytique ».