Ecrivains en état de siège
Préambule
Peut-on traduire l’esprit d’écrivains par une mise en scène avec des chaises ? C’est le défi que Sandrine Roudeix a relevé en demandant à seize écrivains de poser dans le lieu de leur choix avec un ou plusieurs sièges pour traduire leur humeur ou une partie de leur personnalité.Librairie
Librairie « Soif de Lire » à Strasbourg, octobre 2013.
Librairie “L’Usage du Monde” à Strasbourg, juillet 2013.
Café de l’Opéra à Strasbourg, mars-juin 2013.
Librairie Kléber à Strasbourg, janvier -février 2013.
Salon du Livre de Paris, Parc des expositions, mars 2008.
« La Closerie des Lilas » à Paris, janvier-février 2008.
Extrait de la série photos
Revue de presse
“Cette jeune photographe est l’une des pointures à qui le service photo du Point fait appel pour illustrer nos articles, car elle a le don de saisir l’âme de son sujet, ses doutes, ses sourires. Elle aime les écrivains et les écrivains l’aiment. Entre Noël et le nouvel an, Sandrine s’est dit “Et si j’exposais mes photos là où les écrivains ont leur siège, à la Closerie des Lilas, lieu mythique, cosy, blond, chaud, où le beau monde littéraire se retrouve ?” Chaque plume accepta de se faire tirer le portrait chez soi ou tout près. Sollers rigole entre deux fauteuils renversés, Beigbeder semble douter de tout, Jean d’Ormesson charme, hilare en son jardin. Une quinzaine d’écrivains, Orsenna, Desplechin, Ravalec, Dutour, en vrai au bar (souvent)… Et en photos au-dessus. Classe.” Brigitte Hernandez, Le Point
